« Imaginons Saida » a eté une activité réalisée par la Municipalité de Saida en collaboration avec la Fondation Hariri pour le Développement Humain Durable et le réseau écolier de Saida et ses environs afin de promouvoir le développement urbain, ainsi que pour stimuler aux élèves pour montrer ses opinions et son vision de la ville.

Les séances d’orientation du projet se sont célebrées pendant le mois d’octobre 2013 dans 34 écoles, tout en expliquant aux étudiants de quelle façon participer à l’activité et comment prendre les images. On a demandé aux élèves de photographier deux endroits pour symboliser le plus beau et le plus mauvais de la ville, sous cette prémisse si directe: « Quel est l’endroit que vous aimez le plus et le moins de Saida? » Nous nous sommes rendus compte du fait que plusieurs garçons dont les familles no sont pas originaires de Saida ne se considèrent citoyens de la ville bien qu’ils y résident. Les étudiants ont mis ses discussions sur la page Facebook du projet et 113 photos aussi.

Les ateliers de l’activité ont eté dirigés par un nombre réduit de moniteurs, en charge de presque 400 élèves de huitième dans 24 écoles pendant les mois de novembre et décembre 2013. Chaue atelier était composé par environ 35 élèves et se dividait en deux parties, la première avec une discussion des photographies prises, et après ça l’activité du collage avec les outils disponibles et les journaux afin de changer ces lieux selon les désirs et les rêves des élèves. Le collage final n’était pas une oeuvre vraiement professionelle; néanmoins, le résultat le plus significatif de l’activité a eté le dialogue entre les étudiants, avec l’expression de ses idées sur la ville. La majorité des photos ont eté prises dans la vieille ville, avec beaucoup de paysages aussi, avec le château comme la place historique la plus importante et, contrairement, les ordures, la côte polluée et les eaux résiduelles comme les endroits les plus mauvais.

Il y avait 148 photos du château d’un total de 669, avec 145 comme le meilleur endroit et 3 comme le plus désagréable. Les discussions et commentaires des étudiants ont eté centrés autour du château comme un symbole de la ville dont ils y sont très fiers et très attirant aussi pour les touristes. Nous nous sommes rendus compte du lien entre le château et les civilisations et guerres vues par la ville, et les étudiants, et sa fierté pour le monument, visité par eux en plusieurs occasions. Cependant, il n’y pas un background historique unifié et d’information sur le château. Quelques suggestions des étudiants ont eté illuminer le château par la nuit et y organiser des événements culturels et activités commo endroit turistique.

En ce qui concerne à l’environement, il y avait 67 photos de piles d’ordures, et les discussions ont pivoté autour de projets relatifs aux déchets et à l’usage qu’on pourrait faire des espaces liberés. Quelques idées ont eté: des jardins, centre commercial, université, mosquée, observateur astronomique, théâtre de l’opéra, école de musique, hippodrome, restaurants et boutiques près de la mer. En plus, il y avait 16 photos de la côte comme le plus beau endroit et 30 images de pollution côtière comme le plus mauvais. Ça démontre le lien entre la mer et son impact emotionnel parmi les étudiants. Beaucoup de leurs recommandations ont eté nettoyer la côte et déplacer tous les cafés pour construire une promenade bord de la mer.   

Il y avait des autres photos prises en endroits comme domiciles privés, jardins, bâtiments… les événments d’Abra en juin 2013, la circulation, et d’autres lieus d’amusement ont eté comme le stade, boutiques, écoles…

En conclusion, les résultats de cette activité ont eté considerés par les experts et insérés dans la priorisation de la phase du plan d’action.

D’autre part, la municipalité travaillera sur les points abordés et en la promotion des endroits remarquables et dans les projets du patrimoine culturel et environnemental qu’on est en train d’implémenter à la ville, bien que dans l’implémentation de quelques idées et recommandations des étudiants comme témoignage du sens d’appartenance à la ville.

Le succès de la méthodologie de l’activité sera-t-il utilisé aussi dans le plan d’action comme un outil pour traiter avec les jeunes gens. Le pas prochain de l’activité consistera à la présentation des résultats de « Let’s Imagine Saida » au réseau écolier de Saida et ses environs. Finalement, on va célébrer un gran événement avec les étudiants qu’ont participé.